Sur LPN on vous parle souvent de blédards, de blondins, de blacks (dans une plus moindre mesure…) bref on vous parle de catégories socio-culturelles en les déclinant à notre sauce sans pour autant tomber, du moins nous l’espérons, dans la caricature primaire mais en essayant par là d’apporter de l’eau au moulin des discussions sempiternelles telles « la place des africains dans le village mondiale ».
L’autre jour comme je n’avais rien de spécial à faire je me suis rendu sur dailymotion histoire de perdre mon temps à regarder des vidéos sur le bled. Mais voilà à force d’écouter, de voir et de zapper dans les liens des vidéos que je regardais, je suis tombé sur un Objet Cinématographique Non Encore Identifiés, je parle de la série Palabre. Mais faisons ensemble le tour du propriétaire que je ne suis pas.
Des discussions animées, ces derniers temps avec des amis du bled, j’en ai eu. La dernière en date m’a fait me reposer la question du rôle des citoyens au bled. Comme je n’étais pas d’accord avec la majorité des personnes en présence et que je trouvais le sujet intéressant je me permets de vous restituer ici mon point de vue en espérant avoir le votre en retour.
Je ne suis pas un économiste et encore moins un spécialiste de la macro-économie mais c’est dernier temps du côté de l’Europe, un bal diplomatico-financier ne passe plus inaperçu. De toute part une inquiétude semble gagner le « vieux » continent. Aux dernières nouvelles, la Grèce va mal et pour la guérir, toutes les prescriptions d’usages sont étudiées, mais de toutes les méthodes envisagées, le recours au FMI pour résoudre le problème grecque serait vécu comme une honte pour l’Europe.
Dernièrement je me suis retrouvé au centre d’une discussion intéressante. J’étais dans une assemblée de blédards et de blédardes et l’on ma fait une remarque sur une coutume du bled que je n’avais pas observé. Vu que j’apprenais sur le tard, l’existence de la dite coutume, j’ai essayé de la comprendre, la coutume, et du coup, j’ai posé la question qui fâche: Pourquoi?
Ces dernières années les série africaines ce sont multipliées. Après des décennies de vaches maigres, les productions du bled rivalisent, du moins en termes de popularité, avec les séries occidentales qui, jusqu’à encore très récemment, trustées le haut du pavé. Mais comment font-elles ?
En attendant désespérément les Kora 2010, l’équipe de LPN se voit obliger de rechercher désespérément sur d’autres continents les rendez-vous annuels de récompenses pour les musiques blédardes. Et cela tombe bien car la semaine dernière ont eu lieu la remise des Victoires de la Musique Française dont l’une des catégories phares est « Musique du Monde ».