Dans cette nouvelle initiative de lepetitnegre.com, nous nous proposons de donner un coup de pouce aux inventeurs et à l’innovation en général. A défaut d’être des business angels, nous pouvons contribuer à leur promotion ne fut-ce que en parlant des ces trouvailles typique du bled. Attention, il ne s’agit pas de publi-reportage. Au contraire nous allons essayer d’analyser « froidement » les origines de l’invention et son impact social escompté, si il y en a un, sans oublier la réussite ou pas de ce business plan. Sans plus attendre je vous présente notre première candidat: le MobiCINE.
Catégorie : Showbizz
Pegase, l’Etalon d’Or de Yennenga
Rideau. Le FESPACO vient de se clôture et encore une fois je n’y suis pas allé. Comme pas mal d’évènements culturels majeurs du bled, il faut pourtant y être pour savoir ce qui s’est passé. Hélas le FESPACO ne donne pas trop dans les strass et les paillettes. Il est donc difficile de trouver une raison pour s’y rendre. Qu’à cela ne tienne, les films eux n’ont pas cet inconvénient puisqu’ils vous retrouvent là où vous êtes par la magie des torrents privés de l’offre et de la demande. Je me propose donc de vous amèner le Palmarès chez vous.
Mais que reproche-t-on à Irma Pany ?
Qui ça ? Irma Pany ? A ce stade si je suis presque certain que quatre vingt pour cent de nos lecteurs ne savent pas de qui il s’agit et ce n’est pas grave. Cette petite sœur musicienne n’est pas (encore) une superstar mais chez nous à lepetitnegre.com elle a déjà fait impression. Pas uniquement par son art mais surtout de par la formule par laquelle elle entre de plein pieds dans le showbizz. Vous l’avez compris ce titre est un prétexte pour parler de la nouvelle formule de financement en vogue pour promouvoir les projets artistiques.
(Encore) Plus D’Afrique
On s’en plaint à chaque article: les blédards sont sous représentés dans le paysage audio visuel francophone. Aussi quand une initiative voit le jour, je me rue dessus comme un bédouin qui vient de tomber sur un oasis après trois jours d’errance dans le Sahara. Cette fois si l’initiative vient de Canal+ Afrique et s’appelle tout simplement « + d’Afrique ». Disons le de but en blanc: cette émission reprend la recette d’un format qui a fait et continue à faire les bon jour de Canal+ France. Voyons si la version tropicalisée fonctionnera.
A la recherche de Dipoula, l’albinos
L’année dernière, c’est à dire la semaine dernière, je me suis dit:
LPN, il était temps que tu fasses le pas et que tu ailles à la recherche de l’intégrale de Pahé chez Paquet.
Pour ceux qui ne savent pas qui est Pahé, je dirais que c’est le dessinateur de BD d’Afrique francophone le plus « in » du moment. Avec ces 2 séries internationales, La vie de Pahé et Dipoula l’albinos, il a réussi à vendre un peu d’Afrique en dehors du continent, dans un marché fort concurrentiel où on ne jure que par Titeuf ou encore Kid Paddle. Ceci pour dire que je n’étais pas à la recherche d’un auteur exotique d’un marché qui l’est tout autant à l’ombre de l’Atomium. Non, j’étais certain de trouver assez facilement au détour d’une librairie de BD dans LA capitale du genre, je parle de Bruxelles là, l’œuvre complète du dessinateur gabonais.
Coke en Stock
Il arrive parfois que pendant la pause publicitaire l’on ait pas d’envie pressante. On reste alors devant le petit écran et on peut assister à des commentaires intéressants. Trois pubs viennent de s’enchainer devant mes yeux et le commentaire qui revient de manière invariable, à la fin de chacun d’entre eux est: « Pourquoi ils prennent pas de vrais blédards de chez nous pour tourner ces pubs, ils croient qu’un blédard peux pas être (homme d’affaire/hôtesse/pilote/ingénieur – biffez la mention inutile) ». Ben ouais tiens c’est vrai pourquoi toutes ces pubs n’ont pas la couleur locale ?
Revue Ciné: Who Killed Captain Alex ?
Vous en avez marre des blockbusters ? Vous en avez assez de ces grosses productions hollywoodiennes où tout, du dialogue à l’intrigue en passant par le casting, est prévisible ? Faites comme MastaP et plongez vous de temps en temps dans un cinéma alternatif libre de toute contraintes de rendement. Non je ne parle pas du cinéma indépendant qui prétend faire de l’art avec une caméra mais plutôt des films 100% blédards pour les blédards et par des blédards (cocorico!!). C’est pour cette raison que nous nous demandons avec une tension palpable: Mais qui donc a tué le Capitaine Alex ?