Je ne suis pas un économiste et encore moins un spécialiste de la macro-économie mais c’est dernier temps du côté de l’Europe, un bal diplomatico-financier ne passe plus inaperçu. De toute part une inquiétude semble gagner le « vieux » continent. Aux dernières nouvelles, la Grèce va mal et pour la guérir, toutes les prescriptions d’usages sont étudiées, mais de toutes les méthodes envisagées, le recours au FMI pour résoudre le problème grecque serait vécu comme une honte pour l’Europe.
Afrique du Sud avec un point d’interrogation car il y a effectivement lieu de s’interroger sur la gestion de l’événement ..ou plutôt sur la gestion des événements à coté de l’Évènement. Alors que tous les pays ayant déjà organisé une Coupe Du Monde de Foot (CM) en profitaient pour ouvrir une vitrine dans laquelle ils vendaient tous leurs produits et/ou expertises locaux à la planète, les SudAfs ont visiblement des difficultés à alimenter certains rayons. Exemple du jour: la musique.
Il y a de ces billets de réflexions qui prennent souvent des allures de billets d’information tellement le sujet est totalement neuf pour la grande majorité des gens. On a attiré mon attention sur une famille de distinctions destinées à honorer le cinéma du bled et dont je n’avais jamais entendu parlé: j’ai nommé les African Movie Academy Awards.
Dernièrement je me suis retrouvé au centre d’une discussion intéressante. J’étais dans une assemblée de blédards et de blédardes et l’on ma fait une remarque sur une coutume du bled que je n’avais pas observé. Vu que j’apprenais sur le tard, l’existence de la dite coutume, j’ai essayé de la comprendre, la coutume, et du coup, j’ai posé la question qui fâche: Pourquoi?
Une fois n’est pas coutume, nous accueillons dans les colonnes de LPN, la contribution d’une lectrice qui a tenu à nous faire partager son opinion sur la place de la Femme Africaine via une lettre ouverte. Loin de garder son contenu pour nous, la rédaction du blog préfère publier ici l’entièreté de la missive afin qu’elle nous inspire tous et permette un débat plus animé. Voici donc le texte l’Africaine de Awa Diagne.
Vous n’avez pas le temps, le budget ou l’envie d’aller au cinéma mais ce qui s’y passe vous intéresse ? Tant mieux moi aussi. Cela nous donne les qualifications requises pour commenter ce film de Sherry Hormann basé sur l’autobiographie, partielle parce que Dieu merci elle est encore parmi nous, d’un supermodèle j’ai nommé la somalienne Waris Dirie.
Ces dernières années les série africaines ce sont multipliées. Après des décennies de vaches maigres, les productions du bled rivalisent, du moins en termes de popularité, avec les séries occidentales qui, jusqu’à encore très récemment, trustées le haut du pavé. Mais comment font-elles ?