Depuis que le monde est globalisé, il y a un show qui occupe le monde tous les 4 ans. Ce n’est pas la Coupe du Monde de Foot, ou les Jeux Olympiques, mais les élections américaines. Le blédard, riche ou pauvre, trouve son champion et nourrit en lui les plus grands espoirs pour le continent mère…

C’est ridicule, drôle, limite idiot, mais je ne fais moi-même pas exception dans l’intérêt que je porte à cette affaire. Nous voici donc au terme des deux mandats du premier président « noir », et disons-le, à moitié blédard, et voilà Trump arrivé.

On a tout vu et tout attendu sur cette campagne et son résultat et ne comptez pas sur LPN pour refaire le match. Non, nous nous intéressons aujourd’hui à cette volonté de Trump de traîner HRC (ndlr: Hillary Rodam Clinton), son opposante malheureuse devant les tribunaux. Nous avons donc suivi cette campagne où l’on a surtout entendu parlé de viols (qui, où, quand et combien) et autres petits coups bas, et là, Boum! je reçois un whatsapp qui me demande de regarder un documentaire de Stephen Bannon, intitulé Clinton Cash. Stephen aurait pu l’intituler Clinton Clash mais nous n’avons certainement pas le même sens de l’humour à supposer qu’il en ait un.

Bien que le bébé soit sorti en juin dernier, il a un peu été ignoré, mais il refait surface avec fracas, et explicite un peu une des positions de Trump de vouloir traduire les Clinton devant la justice. Maintenant, il faut replacer chaque chose dans son contexte et dire que l’on a pas grand

chose à faire du sort juridique ou pas de HRC. Comme on dit, on s’en fout pas, mais presque.

Nous cramponnant dans notre situation de super spectateur, on se pose les suivantes questions:

J’ai commencé ce papier en parlant de show. En fait, c’est une saga. Donc en attendant la suite, vous pouvez retourner à des activités plus intéressantes.