Catégorie : Showbizz

Revue: White Material

Un film de meufs se déroulant en Afrique ? Cela ressemble à un job pour MastaP, le critique de cinéma intrépide et sans concession. Mes excuses, quand je dis un film de « meufs » je devrais plutôt dire un film de femmes car elles sont à tous les étages: à la réalisation (Claire Denis) , à l’écriture (Marie Ndiaye) et dans le rôle principale (Isabelle Huppert). Je n’ai pas vu White Material ce qui me qualifie particulièrement pour en faire une revue impartiale. A l’assaut.

Mais que reproche-t-on à John Kufuor ?

Monsieur John Kufuor est un ancien chef d’état africain qui a été non seulement démocratiquement élu mais qui a également démocratiquement quitté le pouvoir aux termes de son mandat. Monsieur Kufuor est donc un candidat potentiel au fameux prix Mo Ibrahim, mais hélas, cela fait deux fois qu’il n’est pas retenu: à croire qu’il n’a vraiment pas marqué le pays de son emprunte durant son mandat. A défaut de prix, il faut donc que Mr Kufuor trouve un moyen d’apparaître dans les médias afin que LPN puisse en parler… Et c’est maintenant chose faite 🙂 .

La cas Calixthe Beyala

Comme vous le savez sans doute, sur le site il arrive que nous soyons en désaccord. Et quand cela arrive et que aucun compromis n’est trouvé nous amenons notre désaccord sur la place publique pour vous laisser, vous, chers lecteurs le soin de nous départager. Aujourd’hui l’objet de la discorde est la candidature de Calixthe Beyala pour devenir le prochain Secrétaire Général de la Francophonie.

Hymne nationale, enjeux internationaux

Cette article m’a valu un gifle « verbale » quand j’étais plus jeune et que j’étudiais dans le secondaire. Il faut dire que, à cette époque, mes profs, qu’ils soient biblos où pas, avaient du mal à gérer mes soudaines crises de « blédariose« . Surtout que celles-ci pouvaient apparaitre à n’importe quel moment et à la faveur de sujets, somme toute, anodins. Dans le cas présent il s’agissait de l’Hymne Nationale.

Mais que reproche-t-on à Télésud ?

Comme vous le savez chez LPN on suit de très près tous ce qui concerne l’image du bled dans les médias. Quand je dis de très près ce n’est pas parce que nous nous érigeons en « chien de garde » de celle-ci où parce que nous avons un agenda caché mais simplement parce que nous voulons comprendre et contribuer à améliorer la chose quand il y a lieu. Bon, en même temps, nous sommes nous aussi des consommateurs et nous tenons à user de notre droit de regard sur le menu de ce resto qu’est la télé.

Quand les peoples montrent l’exemple

Bon okay, rien qu’à la lecture du titre de ce billet, la foule transie des supporters de l’équipe de France va penser que je vais, à mon tour, me pencher sur l’agonie de leur équipe en Coupe du Monde de Football. Mais, voyez-vous, chers lecteurs d’origine française, le monde ne commence ni ne s’arrête en France, c’est pourquoi, je m’en vais plutôt vous conter l’histoire de Beenie Man.

Mais que reproche-t-on à Bertin Mampaka ?

Je sais généralement dans la rubrique people mondaine, je m’en prends aux hommes publics qui ont un lien avec le bled pour le meilleur comme pour le pire. J’essaie de comprendre leur position et des fois même il m’arrive de les défendre contre vent et marrée. Mais, des fois, ils poussent le bouchon tellement loin que cela m’énerve. Un exemple pris presque au hasard Bertin Mampaka.