revue: The Ambassador

Toujours à l’affût de sujets chocs pour faire modestement monter nos audiences lepetitnegre vient de décrocher une perle. Tous autant que nous sommes, enfin plutôt tous ceux qui ont vu le film en question, nous nous sommes déjà demander que se serait il passé si Borat avait été un ressortissant de notre pays plutôt qu’un kazhak. Généralement la réponse se décline sous la forme de blagues les plus grivoises les unes que les autres. Mais par simple exercice intellectuel il est tout aussi intéressant de se mettre dans la peau des Etat-Unis. Quel aurait été notre réaction si c’était notre pays qui était ainsi parcouru par ce curieux personnage ? Ni une ni deux, le danois Mads Brugger a tenté l’expérience et c’est le bled qui en prend pour son grade.

Super Blédard: Batwing

Ce n’est un secret pour personne: chez lepetitnegre.com on adore la bande dessinée. Que ce soit les trois cases de blagues dans un journal, les satires politiques ou pas, les classiques de l’école franco-belge ou les mangas : tout y passe. Mais il y a une place particulière réservée aux comics américains. Et pas n’importe lesquels: ceux qui traitent des surhommes communément appelés les supers-héros. Dans cette rubrique nous allons tenter de partager notre savoir sur ces êtres extraordinaires et plus précisément ceux qui vivent ou viennent de chez nous. Commençons par un facile: Batwing publié par l’américain DC Comics.

Le Complexe de l’Ambulance

Le 11 Juillet dernier Joséphine Okoye, la mère du duo nigérian P-Square, s’en est allée pour un monde que l’on espère encore meilleur que celui-ci. En parcourant en diagonale une dépêche qui annonçait son décès mon attention s’est arrêté sur un détail qui n’en était plus un. J’ai noté que Mme Okoye est décédée à la suite de complication résultant d’un opération chirurgicale au cœur. Cette opération a été pratiquée en urgence suite à son évacuation en catastrophe vers une clinique spécialisée en Inde. Encore en Inde ? Je vois la un phénomène récurant sur lequel il convient de réfléchir à voix haute.

Revue: Blue Bird

Après quelques mois d’absence votre rubrique favorite est de retour. En effet ayant réussi à temporairement me libérer de mes obligations professionnelles (chercher un nouveau boulot) et familiales (chercher une nouvelle femme), j’ai pu à nouveau trouver du temps à consacrer au 7eme art. Comme mon temps et mes ressources sont quand même limitées certains films sont passés au travers de mon radar. Raison de plus pour vous en parler en long en large et surtout en travers comme si je les avais effectivement vu. Au menu aujourd’hui le nouveau film du belge Gust Van den Berghe : « Blue Bird »

Tombouc’ Tout

Quelle catastrophe mes amis. Tombouctou, la ville aux 333 saints ne sait plus auquel d’entre eux se vouer. En effet, voici plus d’une semaine qu’une bande de voyous armés a entrepris de saccager des monuments au caractère historique et religieux inestimable. Cela ressemble bien à un nouveau challenge pour le Mali et son allier improbable le super héros invisible prénommé Communauté Internationale. Etant dans l’incapacité d’entrer dans le complexité de la crise malienne, il y a néanmoins un question de porté plus universelle qui se dégage de ces derniers évènements: pour qui roulent les blédards.

AMINA, évidemment.

Question pour un champion: citez-moi le nom d’un magazine francophone destiné au public féminin? Tous ceux qui ne trouvent pas la réponse ou qui ont répondu autre chose que AMINA: veuillez prendre la porte. Merci. C’est vrai quoi, ce magazine est tellement présent depuis longtemps que j’ai l’impression que … ah ben oui: le magazine AMINA est plus vieux que moi. Il vient même de fêter ses 40 printemps en Avril dernier. Essayons de comprendre comment un objet aussi anachronique (un magazine en papier) réussi à exister là où ses confrères font grise mine.

Pourquoi l’homosexualité rend fous certains blédards

Pour ceux qui suivent LPN depuis ses débuts, vous savez que, en ce qui concerne les droits des homosexuels au bled, ce blog a toujours était aux premiers rangs de ceux qui prônent l’ouverture et donc l’acceptation pleine et complète du fait homosexuel. Cette démarche que certains qualifieraient de dangereuse quand d’autres parleraient de contribution citoyenne ou humaniste n’a rien de désintéresser. Au contraire le but est de démystifier un sujet de société afin que les blédards dépassent leur craintes, espoirs et illusions et s’attaquent aux vrais défis du bled… ce que l’homosexualité n’est pas.