Je suis de ceux qui pensent, et j’ai déjà défendu ce point de vue à plusieurs reprises sur ce blog, que l’unité et la solidarité des blédards se fera d’abord au niveau individuel. Ce sont des personnes, des familles qui développeront une amitié qui plus tard sera traduira dans des textes fédérateurs. Mais voilà cette approche est considérée comme trop « religieuse ». On lui préfère un approche plus « païenne » basée sur des symboles bien palpables de l’unité des blédards. L’un deux justement arrive sous les feux de la rampe et va sans doute raviver la flamme nationaliste qui sommeil en tout blédard qui se respecte, j’ai nommé le fleuve Nil.