Je ne sais pas si je suis le seul à faire cela mais je possède un frigo virtuel dans lequel je conserve des artistes « à écouter plus tard ». Ce comportement est dû à un sentiment à cheval entre le « je n’ai pas la tête à ça » et le « j’ai un mauvais pressentiment au sujet cette œuvre« . Et bien c’est le cas avec Nneka. Depuis ces débuts en 2005, j’ai son nom dans les oreilles mais juste son nom. Et voilà que, forte de 5 années de présence en tête d’affiche, elle sort un nouvel opus goupillé pour le marché américain: « Concrete Jungle« . Voyons ou plutôt écoutons ce qu’elle a à nous dire.