J’ai toujours tenu comme règle qu’une langue vivante se doit d’être dynamique pour subsister. Il faut que dans son usage et ses règles on puisse déceler la créativité de ceux qui la parlent. Les artistes à textes (écrivains, chanteur – rapers compris – , acteur, poètes, …) sont les principaux contributeurs à cette construction. Mais il ne font que formaliser des trouvailles venues « de la rue ». Dans ce cadre justement il est de ces expression en cours d’intégration issues du bled que les européennes ont des difficultés à assimiler et vice-versa.