Cela devait arriver un jour ou un autre, les artistes américains… heu pardon les majors américaines de l’entertainment l’ont fait avant eux, les distributeurs européens ont essayés par la suite de le faire avec un succès plus que relatifs alors en bons élèves qui ont appris leur leçon les artistes et leur représentants locaux africains et plus particulièrement sénégalais ont suivi leurs ainés et ont frappé fort. En interdisant Wal Fadjri, le premier groupe privé de diffusion d’émettre, c’est un signal (jeu de mots vaseux) fort qui est envoyé aux médias. Les artistes aussi veulent la part du gâteau qui leur revient de droit.