Archives pour le mot clé : Ali Ben Bongo

Gabon : Tout ça pour ça

Ca y est, certains l’avaient prédit bien avant le début de la compétition et après plus de 4 jours d’attente insoutenable, des dates et des effets d’annonces venu de sources multiples et divers plus ou moins fiable… on connait désormais le nom du nouveau président gabonais : Ali Ben Bongo. Et déjà, des voix s’élèvent pour critiquer sa victoire. Au lieu de livrer mon sentiment profond, qui ne sert à rien, on s’en doute, essayons d’analyser sans parti pris, si cela est possible, ce qui vient de se passer au pays de l’Eboga.

Gabon2009.ga: La présidentielle s’invite sur le net

alainbongoPuisqu’on est tous en train d’attendre le verdict des urnes, certains disent que celui-ci tombera demain, et vu que tout le monde se précipite sur la dernière infos plus ou moins fiable pour spéculer et avancer des noms sans trop de certitude et de réelle preuve. LPN en profite pour détendre l’atmosphère en  vous parlant du candidat qui aura fait couler le plus d’encre autour de sa personne Alain Bongo… heu excusez moi, Ali Ben Bongo.

le gabon retient son souffle

le prochain président gabonaisLe Gabon a voté hier, et malgré les quelques irrégularités rapportés un peu partout dans le pays. Celui-ci s’est levé sans bruit, sans soubresaut, sans violence apparente. Mais ce calme tout superficiel cache un pays à l’arrêt, suspendu au verdict des urnes et à l’annonce des résultats dans les jours à venir.

Quand le Gabon montre la voie

andre-mba-obameUne prise de conscience en dernière minute des enjeux ? Un coup de théâtre savamment orchestré ? Une technique dérivée d’une partie de Songo ou Awalé. Quelque soit la raison, le résultat est là, 11 candidats aux élections gabonaises viennent de se désister au profit de André Mba Obame, AMO pour les intimes. Et quelque soit l’issu de la partie, pipée ou non, une leçon qui résonnera certainement à l’oreille de tous les dirigeants du bled est en train de nous être donnée par le peuple gabonais tout entier et par sa classe politique en particulier, celle de la possibilité d’une campagne présidentielle digne de ce nom au cœur d’une Afrique Centrale réputée pour ses putschs et autres élections de pacotille.