Je sais c’est bientôt la fin de l’année et c’est l’heure des bilans pour certains, pour d’autres comme les blédards expatriés , la fameuse diaspora, ce sera le temps de jouer au Père Noël, une fois de plus, et de combler de cadeaux leur famille restées au bled. Mais voila, que l’on ne s’y trompe pas, la diaspora du bled à l’habitude de jouer au Père Noël tout au long de l’année. Quand il y a fête, nomination, réjoussance ou malheur elle contribue régulièrement à l’économie du bled en fournissant l’indispensable carburant pécunier sans quoi, beaucoup de choses ne se feraient tout simplement pas.
Les billets de LPN
Le blédard à l’ONU
Comme chacun le sait, on a coutume de dire au bled « One Man, One vote ». Cette phrase popularisée dans les années 80s par les opposants à l’Apartheid et ré-utilisée depuis, de manière fréquente, lors des élections au bled peut également servir lorsque l’on parle des états qui se réunissent lors de l’assemblée générale de l’ONU.
Comme vous le savez, dernièrement, un vote plus que symbolique a eu lieu pour savoir si la Palestine pouvait prétendre à un status un peu plus important dans le concert des nations. Et pour cela, il a fallu rameuter tous les pays de la planète et procéder à un vote. Et comme l’adage ne se détrompe pas, du moins dans ce type de vote, « One Country, One vote ». Et le résultat que tout le monde attendait arriva: la Palestine n’est pas encore un pays à part entière au yeux de l’ONU, mais elle s’en approche.
La Francacophonie
Et oui LPN sort de sa lethargie au moment du sommet de la francophonie pour participer à sa manière à se rendez-vous dit-on de la langue de Molière. Je dis dit-on car il faut le dire à ceux qui ne le savent pas, la francophonie est une exemple typique du détournement efficace et efficient par un groupe d’une idée à la base pas si stupide que cela.
Mais que reproche-t-on à Maixent Accrombessi ?
Si vous n’êtes pas gabonais ou que vous ne suivez pas l’actualité du côté du palais du bord de mer, ce nom ne vous dira sans doute rien. Et pour cause, savoir qui est Maixent Accrombessi et comprendre ce qu’il représente est un enjeu gabonais qui selon l’attitude générale de la population, de la société civile, des politiques et des gouvernants gabonais pourraient avoir des répercutions sur la scène africaine. Car en filigramme, l’enjeu principal de cette histoire bien gabonaise est de savoir si Le Blédard est somme toute un « xénophobe » comme les autres.
Pourquoi le bled rate toujours les JO ?
Et voila, vous pouvez éteindre votre poste de télévision ou zapper sur une autre chaine, si vous êtes blédard, ne croyez pas ce que vous diront les journalistes de vos différentes chaînes nationales, oui les JO sont bel et bien terminés pour le bled. Depuis vendredi dernier, il n’ya plus de JO et d’ailleurs les résultats de nos différentes équipes nationales là pour le confirmer. L’Afrique a encore raté les JO.
Pourquoi l’homosexualité rend fous certains blédards
Pour ceux qui suivent LPN depuis ses débuts, vous savez que, en ce qui concerne les droits des homosexuels au bled, ce blog a toujours était aux premiers rangs de ceux qui prônent l’ouverture et donc l’acceptation pleine et complète du fait homosexuel. Cette démarche que certains qualifieraient de dangereuse quand d’autres parleraient de contribution citoyenne ou humaniste n’a rien de désintéresser. Au contraire le but est de démystifier un sujet de société afin que les blédards dépassent leur craintes, espoirs et illusions et s’attaquent aux vrais défis du bled… ce que l’homosexualité n’est pas.
Mais que reproche-t-on au tourisme ?
Un collègue du boulot dont je tairais le nom et la nationalité s’est rendu récemment en Égypte pour les vacances. Lorsqu’il en est revenu, une semaine plus tard, je lui ai demandé comment il avait vécu les récents évènements politiques du pays durant son séjour. Il m’a regardé longuement avant de me demander de quoi je parlais ? Avant de poursuivre en me disant :
là où je me trouvais, il ne s’est jamais rien passé et de toute façon je ne m’aventure jamais hors de mon hôtel. D’ailleurs mis à part ceux qui travaillent à l’hôtel on ne rencontre pas beaucoup d’égyptiens.