Attention, attention !! un tueur fou est en liberté. On nous signale qu’un légionnaire français stationné au Tchad a pété un câble. Il vient de se lancer dans une chevauchée meurtrière. Après avoir tuer trois de ses camarades militaires, il s’en est pris à un habitant du pays. Après l’avoir tué il lui a volé son canasson et s’est enfui avec.
C’est clair: le monde est devenu mondial. Même l’Afrique peut se targuer, à présent, d’avoir son lot de forcenés. Au départ j’accusais les médias en panne d’infos réellement pertinentes de faire du racolage. Car chaque fois qu’une balle était tirée on avait droit à un article ou un reportage. Puis il y a eu comme une surenchère dans la bêtise des criminels. C’est comme si tous les pays rivalisaient pour avoir chez eux le plus grand monstre de tous les temps. On a eu droits aux enfant enlevés par ci et aux filles séquestrées par leur propres parents par là. Puis ce fus les tueries dans les bureaux, les universités , les écoles et même, comble du comble, dans les crèches. On ne peut même plus dire que le phénomène est limité aux USA, pays où posséder une arme à feu est un droit protégé par la constitution.
Voilà donc que ça arrive aussi chez nous. Vous me direz avec le nombre d’hommes en arme ayant foulés le sol africain depuis le début des années 90 ça ne devrait pas être étonnant. Je lis régulièrement un journal du bled et j’ai constaté que tout les cas de meurtres reportés sont perpétrés à l’aide d’une arme à feu. Il semble donc que ce type d’arme est plus facile à obtenir et à manier qu’une simple machette. Quoique les forcenés rwandais ont tristement démontré en 1994 que les armes blanches ne sont pas à prendre à la légère, à méditer …