Ca y est, certains l’avaient prédit bien avant le début de la compétition et après plus de 4 jours d’attente insoutenable, des dates et des effets d’annonces venu de sources multiples et divers plus ou moins fiable… on connait désormais le nom du nouveau président gabonais : Ali Ben Bongo. Et déjà, des voix s’élèvent pour critiquer sa victoire. Au lieu de livrer mon sentiment profond, qui ne sert à rien, on s’en doute, essayons d’analyser sans parti pris, si cela est possible, ce qui vient de se passer au pays de l’Eboga.