Je vous propose aujourd’hui un billet sur un sujet grave mais qui me tient à cœur de traiter sur ce blog. Il s’agit de l’un de ces sujets qui montrent que nous autres blédards avons, comme disent les américains, un nombre non négligeable de squelettes dans nos placards. Ces « dossiers » sont hélas autant présents sur les aspects publics de notre vie que sur les éléments les plus privés de nos vies. Et, ombre au tableau qui fait que je veuille en parler, je ne suis pas persuadé que en interne le débat est tranché. Chers lecteurs parlons de l’esclave moderne.