Dans cette atmosphère de remise en question de l’intégration des blédards dans les pays dit du Nord, et des initiatives plus ou moins douteuses des blédards ou des autochtones pour enfermer ou réduire le débat, je me permets de participer à la discussion. Ce sera en rapportant, une fois n’est pas coutume, une scène de la vie quotidienne vécue il y a quelques mois dans le métro de la capitale de l’Europe.