Bien, il semble maintenant avéré que les « crèves la faim » n’ont pas l’air d’intéresser grand monde. C’est le cas au sommet de l’État ou des États puisque le problème semble globale. Mais alors dites moi mesdames et messieurs, pourquoi ce soudain regain d’intérêt pour le sol sur lequel ces même populations vivent ? Retour sur le nouveau boom foncier africain.