Archives pour le mot clé : Souleymane Cissé

Euréka: le MobiCINE

mobiCINE

Dans cette nouvelle initiative de lepetitnegre.com, nous nous proposons de donner un coup de pouce aux inventeurs et à l’innovation en général. A défaut d’être des business angels, nous pouvons contribuer à leur promotion ne fut-ce que en parlant des ces trouvailles typique du bled. Attention, il ne s’agit pas de publi-reportage. Au contraire nous allons essayer d’analyser « froidement » les origines de l’invention et son impact social escompté, si il y en a un, sans oublier la réussite ou pas de ce business plan. Sans plus attendre je vous présente notre première candidat: le MobiCINE.

Cannes à Sucre

Après un long week-end pour raison de fête religieuse, quoi de mieux que de redémarrer la semaine tranquillement avec un sujet léger ? Nous allons bouger du côté de Cannes dans le sud de la France où vient de se terminer la cérémonie annuelle du Festival Internationale du Cinéma Dont Personne n’a Rien à Secouer. Avec un tel titre il doit certainement y avoir un ou plusieurs films blédards si pas en compétition en démonstration. Sans parler de réalisateurs qui ont sans aucun doute réussi à se faire une place dans ce microcosme nombriliste.

« Min Yé » ( Dis Moi Qui Tu Es )

Voici en 5 minutes chrono ma critique d’un film que je n’ai pas (encore) vu. Je vais comme d’habitude uniquement me baser sur l’affiche (le plus dur à trouver), une recherche non approfondie sur le Net et mon humeur du jour. « Min yé » ou « Dis Moi Qui Tu Es« ,  certainement en langue bambara, est le dernier film que Souleymane Cissé a accouché dans la douleur après 14 ans de gestation.

Le Nerf de la Guerre

« It’s all about the Benjamins » – P.Dddy,Lil Kim, The LOX and The Notorious B.I.G

Encore une fois des gars qui n’ont rien compris à ce 21 siècle (et à celui d’avant d’ailleurs) ramène sur la table le problème de la prétendue crise du cinéma africain. Il me semblait que le public avait été clair la première fois en refusant de se déplacer pour regarder des films d’auteur. Mais non, ça n’a pas suffit. Les intellos du 7ème art sont revenus de plus belle avec leurs pleurs et lamentations. Alors pour la bonne cause je vais leur expliquer une dernière fois.